Le Tour de France, c’est près de 12 millions de spectateurs sur le bord des routes. Mais saviez-vous que c’est aussi une centaine de métiers différents autour de son organisation ? Zoom sur ceux qui ont marqué l’histoire de la Grande Boucle.
Aujourd’hui, la voiture-balai fait partie du paysage du Tour de France. Elle est le symbole de la fin de l’étape et de l’abandon pour les coureurs qu’elle récupère.
Mais en 1910, la voiture-balai a un tout autre rôle. Cette année-là, le Tour de France en est à sa 7e édition. Les années précédentes ont été marquées par de nombreux actes de tricherie. Vous pensez au dopage ? Non : à l’époque, les contrôles n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. La triche consiste principalement, pour un cycliste, à emprunter en catimini un autre moyen de transport pour avancer dans la course.
Le conducteur de voiture balai était particulièrement vigilant : il devait être en mesure de détecter les cyclistes ayant recours à l’auto-stop, à la voiture voire même au train.
Devenez incollable sur le Tour de France !
Le saviez-vous ?
C’est bien le Tour de France qui a créé la voiture-balai. Depuis, le véhicule s’est étendu à d’autres compétitions sportives comme les marathons.
La voiture-balai était à l’origine agrémentée d’un balai reconnaissable. Celui-ci a cependant été remplacé par un autocollant.
Le règlement du Tour de France est strict : un cycliste abandonnant doit donner son dossard au commissaire du véhicule-balai.
Les conducteurs des voitures-balai d’hier comme d’aujourd’hui font partie des milliers de talents qui font vivre la passion du Tour de France chaque année. Et si demain, c’était vous ? Adecco, révélateur de talents, vous aide à exprimer votre potentiel pendant et même après le Tour de France.
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